Autour de la gare de l’Est à Paris, le piéton stationne car il attend
son train. Là, il a tout le temps de bien voir la ville dans laquelle
il fut ferré ou pris. Quand son regard oisif peut enfin s’émanciper et
voir les lignes de forces de l’urbanisme dévoilé. Plus avant, nous
montons le petit escalier vers la rue d’Alsace où l’amoureuse Amélie
Poulain suivit son photographe étrange et fantasmé. La rue suit les
voies ferrées du TGV et des trains d’autrefois. Aussi, on peut voir
l’immense vague de la couverture en verre de cette gare, si proche de
la gare du Nord de quelques rues espacée.
L’invention
du train et de la voie ferrée au XIXe siècle se fit dans les mines où
l’on cherchait le minerai, qu’il fallait aussitôt transporter dans la
fabrique de l’industrie du nouvel âge de fer. Là, on inventait les
pompes pour évacuer l’eau, et les ascenseurs pour transporter les
ouvriers et la machine à vapeur qui fut simultanée à la Révolution
française quand elles ouvrirent cette nouvelle prospérité. Ce furent
des dizaines d’inventions liées qui firent ce XIXe siècle.
L’architecture en métal permit d’ajourer toute la couverture des gares
derrière des façades encore citationnistes de l’Antiquité, conformément
au style Napoléon III soit l’éclectisme. Aujourd’hui, ajoutée à la
façade de la gare du Nord, une verrière vient donner toute la dimension
futuriste à l’architecture urbaine du dernier XXe siècle. Depuis les
années 1970, les concepteurs du postmodernisme aimaient à assembler des
époques dans le même bâtiment, et souvent selon un rythme binaire
simple. Une façade néo-classique était prolongée et ouverte par une
structure high-tech, qui sait évoquer les bandes dessinées de la
science-fiction.
Car, cette fois-ci les concepteurs
ne voulurent pas manquer le train de l’avenir. Comme les dessinateurs
du début du XXe siècle, et publiés dans l’Illustration,
avaient tout faux dans leurs imaginations de l’an 2000. Plus
probablement, l’an 2100 sera-t-il plus conforme à ces délires gonflés
de dirigeables et de grandes verrières qui feront nos villes sous
cloche, où le marcheur ne craindra plus les intempéries. On se souvient
que ce fut Léonard de Vinci qui dessina la première ville aux passages
couverts et sur plusieurs niveaux.
En été, la gare
du Nord est un monde très cosmopolite, où l’on compte une population
vraiment mêlée et de toutes origines. Les gares sont des lieux
mythiques où nos fantasmes s’agitent de bruits autorisés qui ont
inventé le rock avant l’heure. Il y a des ambiances de concerts d’une
synesthésie des arts au plein de la ville ouverte sur l’ailleurs, et le
plus loin possible. La verrière monumentale, que vous pouvez voir ici
et tout le reportage, semble une grille d’une cartographie célestine
posée par l’architecture fonctionnaliste. La fonction crée la forme.
Plus tard, on comprendra au XXe siècle la grande beauté qui se dégage
de ces fonctions, si mélioratives de l’homme et de sa société. Et d’une
certaine façon, ces grilles de lectures de verre et de fer renvoient à
la juridiction du réel qu’Alberti et Brunelleschi mirent en oeuvre.
Quand ils inventèrent la perspective visuelle à point de vue unique
dans l’art de la peinture et l’architecture de la renaissance.
Les
voyageurs assis dans le train des salles d’attentes ne se doutent pas
un instant, qu’ils seraient pris dans la toile d’une grande araignée
jetée à la Renaissance. Quand l’homme est devenu un démiurge, à la
place de Dieu. Et par l’effet des arts et des techniques qu’il a su
prendre aux dieux d’une façon toute prométhéenne. Ainsi, quand on prend
le boulevard Magenta on saisit mieux encore, combien la ville est un
organisme vivant et complexe dont chaque individu est une cellule dans
un corps composé d’artères et de lieux de repos ou d’autres trafics
inavouables, selon la tradition à l’entour des gares.
On
arrive bientôt au plein de la structure rayonnante des boulevards qui
s’espacent depuis la place de la République. Selon le programme
Haussmannien, assez louisquatorzième, tout devait être vu dans ces
artères afin que rien ne sache bloquer le flux qui est vital pour tout
l’organisme. Par ailleurs, il fallait éviter le caillot du coagulé
révolutionnaire dans ces temps rougis comme le fer au feu.
C’est
Hippodamos de Milet qui conçut le port du Pirée à Athènes qui fut la
première ville dessinée selon un plan orthogonal. Et selon deux axes,
le premier va de l’est à l’ouest ou le decumanus et le second s’étend
du nord au sud, c’est-à-dire le cardo. Plus tard, la ville médiévale
s’est constituée plus librement en des strates ajoutées l’une à l’autre
en périphérie du centre mystique et du pouvoir. Ainsi, on vit des
villes s’étendre en spirales ou d’autres en des cercles plus
concentriques. Mais toujours avec un enchevêtrement constitué selon un
ordre assez naturel et non rationnel. Une maison s’ajoutant à l’autre
comme on voulait. Quant à la structure radioconcentrique de l’urbanisme
au XVIIe siècle, elle rayonnait depuis la statue équestre du roi
solaire. Tous devaient voir Louis XIV pour l’admirer, quand le roi
devait voir tous ses sujets pour les surveiller.
On
longe la place de la République, et l’on achoppe sur le sans domicile
fixe qui fabrique sa petite boutique d’objets, qu’il vend surtout aux
étrangers qui semblent surpris de ce Paris du tiers-monde sinon du
quart-monde ou pire encore... Quand il ne choque plus l’indigène
parisien qui lui jette des regards compassionnels et entendus. Puisque
le petit marchand de cendriers orfévris de canettes usagées fait partie
du nouveau paysage urbain. Comme un rappel savant du XIXe siècle, vers
lequel nous retournons au rebours. Le touriste est un peu effrayé de ce
coup d’oeil. Puisqu’il est tout nimbé de cette impression qu’il ressent
d’être au coeur du monde. Dans la plus belle ville vue à la télé et
perçue ou rêvée dans les contes publicitaires et la littérature en
tombereaux des nouveaux codes vinciens vulgarisés. Et finalement, c’est
bien ce qu’il voit. Car ici, rien n’est factice, et le riche et le
pauvre et l’homme du commun de l’ordinaire, tous sont vrais. Certes, le
Parisien est blasé, mais, il pense rarement ou jamais à quitter sa
ville intense et toujours recommencée.
Au loin, on
voit l’axe de la porte Saint-Martin par laquelle Louis XIV entra dans
Paris, après ses victoires de guerres. C’est droit vers la Seine. Mais,
nous prenons l’avenue de la République qui descend jusqu’au boulevard
Ménilmontant et vers le Père Lachaise des tombales mémoratives. Nous y
allons et, au passage, nous glanons des vues où se joignent des effets
de vert du mobilier urbain parisien, du jaune de la poste familière et
du rouge des enseignes sous lesquelles les employés fumeurs s’adonnent
à leur grève préférée non pas du vice.
C’est une
bonne occasion de regarder les belles parisiennes qui sont une troupe
innombrable. Et sur des jambes qui claquent du talon selon la plus fine
aiguille des sonorités propres à chaque arrondissement. On ne marche
pas à Saint-Germain-des-Prés comme on traîne à la Bastoche. Et une
oreille avertie, par l’expérience de ces douces et fines approches,
saura faire la différence comme un meilleur ornithologue des caprices
féminins.
Au cimetière du Père Lachaise on goûte la
célébrité des autres, quand soi-même on est toujours vivant. Ce qui
nous poste un avantage considérable sur les grands de ce monde d’en
dessous. Et il n’est pas si troublant de constater que les mêmes ordres
de plans ont constitué ce royaume des morts, comme ils ont conçu la
ville des vifs. Finalement, cette structure urbaine se trouverait
plutôt et immanquablement dans le cerveau de chacun d’entre nous. Telle
une toile de l’araignée paradigmatique qui ratiocine au-dedans de nous.
Mais quelle ville serait en nous ? Sinon la topographie des mots
qui constituent notre inconscient. Tant et si bien que nous nous
sentons chez nous dans la ville. Car elle est un voyage dans notre
propre intériorité.
Un peu comme dans le roman de Huysmans A rebours,
dans lequel le chevalier des Esseintes prépare son voyage à l’étranger.
Et qu’il en jouit tellement, par avance, en y pensant sur le chemin de
la gare, qu’il décide de rentrer chez lui. Car, penser le voyage fut
bien meilleur que l’entreprendre entièrement. C’est ainsi que naquit le
courant symboliste et toute la ligne de force de l’imaginaire, qui fit
l’art du XXe siècle et le nôtre aujourd’hui.
> Paris au XXIè siècle par Max Pintcy(IP:xxx.x1.11.212) le 25 juillet 2007 à 19H35
Et
n’oubliez pas de venir visiter à la foire du Trône la nouvelle baraque
des web-animals, avec son dernier phénomène: un marsupial auto-branleur
à têtes multiples.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.186.157) le 25 juillet 2007 à 20H29
@ Gasty,
Tu
devrais essayer de vendre de la Kro sur les parkings des supermarchés.
Là tu as de l’avenir. Ils cherchent des grandes gueules qui répètent
inlassablement ce qu’elles ont vu à la téloche pour harponner la
ménagère de cinquante balles.
> Paris au XXIè siècle par ZEN(IP:xxx.x44.77.88) le 25 juillet 2007 à 20H50
Le
Gasty, il nous étonnera toujours !...J’étais de mauvais poil, because
it’s raining, il m’a remonté le moral pour quelques heures...je ne
prendrai pas mon quart de Lexomil ce soir, toujours ça de gagné...
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.186.157) le 25 juillet 2007 à 21H11
@ Gasty,
Je
tiens quand même à te faire remarquer que tu n’as aucun droit de signer
des phrases que tu n’as pas écrites et qui sont de ma main, même en
pastichant. Puisque tu les reprends telles quelles. Et que je suis une
teigne sur ces coups-là.
Tu as lu les débats sur la DADVSI.
C’est
chaque fois un coup à 50000 €. Bon tu as forcément des économies, vu le
temps libre dont tu disposes. Peut-être devrais-tu te fendre d’une
contrepartie puisque tu prends ce qui ne t’appartient pas.
Comme ces valises qu’on pique dans les gares, ce que tu dénonces toi-même.
La
création n’est pas un jeu insouciant, c’est l’identité du créateur. Et
je ne t’autorise pas à prendre mes phrases pour en faire de la bouillie
pour chat.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.186.157) le 25 juillet 2007 à 21H23
@ Gasty,
Je
trouve le texte marrant, mais je ne t’autorise pas,ni à qui que ce
soit, à reprendre mes phrases et à les signer et à ce qu’elles soient
diffusées sous un autre nom que le mien soit l’auteur. Car c’est de la
contrefaçon de mes créations. Tu sais ce qu’il te reste à faire, et moi
aussi.
> Paris au XXIè siècle par Gasty(IP:xxx.x1.169.137) le 25 juillet 2007 à 21H34
Je prend la vie du bon côté mon pôvre Demian.
Aurais-tu
la prétention pitoyable de museler la joie du partage. Rejoint nous si
ton égo te l’autorise, ou alors il faut partir. A moins que tu sois
tenu par un contrat avec agoravox, mais dans ce cas ! transmet -moi ce
contrat.
L’enfoiré ( le plus grand des diplomates d’agoravox) t’avais posé une question sur un autre fil, réfléchi encore à sa question.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.186.157) le 25 juillet 2007 à 21H40
@ Gasty,
Je
viens de découvrir que vous postez des phrases entières prélevées dans
mes créations et que vous les publiez dans des articles sous votre nom
dans votre blog. Ce qui est de la contrefaçon sans aucun doute.
Le
fait que vous publiez mes phrases telles quelles ne relève plus du
pastiche. Par ailleurs, je ne vous ai jamais autorisé à les publier et
sous votre nom.
En conséquence, j’exige que vous retiriez immédiatement toutes les contrefaçons de mes créations, de votre blog.
Et
j’ai pris des copiés/collés de vos contrefaçons, que j’adresse à mon
avocate ce soir même. Afin que nous donnions la suite qui convient pour
obtenir des réparations en dommages et intérêts pour le grave préjudice
que vous me faites subir publiquement.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.186.157) le 25 juillet 2007 à 21H51
Monsieur Gasty,
Le
"Droit des Auteurs et de la Propriété Littéraire et Artistique" vous
interdit de façon expresse de publier sous votre nom des créations dont
vous n’êtes pas l’auteur. Et vous serez certainement condamné aux
dépens au Tribunal de Paris où je vous assignerai en contrefaçon.
C’est-à-dire que vous assumerez tous les frais du procès en
contrefaçon, en plus des dommages et intérêts que vous serez contraint
de me verser.
Sachez que je demande immanquablement réparation dans ces cas de contrefaçon.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 07H12
@ Dilettante,
Ce
ne sont pas de pastiches, puisqu’on y trouve des copiés/collés de mes
phrases, telles quelles, et que Gasty les signe sur son blog. C’est qui
est de la contrefaçon la plus grave.
Faire un pastiche c’est faire "à la manière de" mais pas reprendre les phrases telles quelles.
Et
on se moque de votre avis, seriez-vous des milliasses, puisque Gasty
s’attaque au droit des auteurs que nous défendons quoi qu’il puisse se
produire.
Il aggrave encore son cas en laissant ses
contrefaçons après avoir été mis en garde. Et c’est lui qui rendra des
comptes. Vous ne lui rendez donc pas un bon service en l’incitant à
perpétuer ses contrefaçons.
La contrefaçon est un
vol, et nous pouvons aller au pénal. Si le contrefacteur provoque et
menace de me diffamer, comme Gasty l’a fait, en plus dans le fil de mes
articles qu’il contrefait.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 08H03
De
plus, l’intention malveillante est manifeste. Puisque le contrefacteur
de mes créations, Gasty est soutenu par ceux qui dénigrent mes
créations. Et qu’ils utilisent ensemble le prétexte du pastiche, qui
n’en est pas un et pas humoristique puisque malveillant, pour
s’attaquer systématiquement à un seul auteur, Demian West.
Si
bien, que ces délinquants empêchent des lectrices et des lecteurs
d’intervenir et qu’ils doivent le faire directement par le biais de mon
adresse e-mail. Ce qui va à l’encontre du dispositif citoyen ouvert.
"On longe la place de la République, et l’on achoppe" est une contrefaçon de la plus grave des graves droits d’auteurs passible d’amende et d’emprisonnement.Alors ça ? ?
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 08H22
Monsieur Gasty,
Je
vous ai adressé une e-mail. Et vous ne répondez pas à mes demandes. En
revanche, vous continuez à me contrefaire publiquement et à me dénigrer
dans le même temps.
Si vous insistez, nous
demanderons 50000 € pour chaque phrase contrefaite. Et si vous
persistez, ni irons tout simplement au pénal.
J’exige
que vous retiriez immédiatement toutes les phrases que vous avez prises
dans mes articles et que vous avez signées sur votre blog. Car j’en ai
l’antériorité et la paternité.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 08H51
@ Monsieur Gasty,
Tout
le monde peut voir sur votre blog, que vous vous placez sous l’intitulé
"l’auteur de l’article" où paraissent mes phrases. Et que vous ne
mettez nulle par "d’après Demian West" . Quand en plus, je ne vous
autorise pas à reprendre mes phrases. C’est du vol de paternité, le cas
le plus grave de contrefaçon.
Vous en débattrez avec le Juge au Tribunal de Paris.
> Paris au XXIè siècle par Gasty(IP:xxx.x1.169.137) le 26 juillet 2007 à 09H31
MÔÔsieur ! Je n’ai nul intention de faire commerce avec vous.
Vos création de l’esprit ne valent rien, vous surévaluez leurs portées artistiques.
Voir
même, vous détournez l’esprit artistique à des fins mercantiles et
personnel, je dirais une tentative d’escroquerie artistique sur ce qui
ne vaut même pas le prix d’une baguette de pain.
N’auriez-vous donc que cela à protéger ? ? ? vous etes bien un artiste ? ? ?
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 09H49
Vous
manifestez tous les traits du contrefacteur. Vous méprisez l’auteur que
vous avez pillé. Vous ne rendez pas ce que vous avez volé, et vous vous
attaquez à la qualité des créations que vous vous êtes appropriées. Car
vous finissez par vous convaincre qu’elles viennent de vous ou qu’elles
n’appartiennent à personne. Tous le font, et ils payent à la fin.
> Paris au XXIè siècle par Gasty(IP:xxx.x1.169.137) le 26 juillet 2007 à 09H55
MÔÔsieur,
Les
droits d’auteur protège les œuvres littéraires et artistiques telles
que les livres, les programmes d’ordinateur, les bases de données
originales, les œuvres musicales, les œuvres audiovisuelles, les œuvres
d’art et les photographies.
Pas des résidus de phrases.
Utilisation
permise sans autorisation: il est permis d’utiliser une portion limitée
d’une œuvre, y compris des citations, pour des fins des comptes rendus
d’événements d’actualité ou d’usage personnel par exemple.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 10H04
@ Gasty,
Vous êtes très mal informé.
Vous
n’avez aucun droit de vous approprier la paternité de textes ou
d’images, mêmes fragmentaires si ces créations sont reconnaissables ce
qui est le cas, d’un auteur ce que je suis à plus d’un titre.
Vous
n’informez pas, vous ne pastichez pas, vous reprenez des formes de mon
invention pour vous les approprier, soit de la contrefaçon.
Je trouve votre insistance très malveillante et nous y répondrons comme il convient. Le droit, le droit, le droit.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 10H08
J’ajoute
que même un seul mot peut être protégé et son auteur. Dans le cas
présent, vous avez pris des fragments de mes articles, et il n’y a
aucun doute que je suis l’auteur des éléments fondamentaux de vos
articles qui sont des contrefaçons. Et pire encore, vous les signez
sans exprimer explicitement leur origine, "d’après Demian West". Votre
cas est donc indéfendable. Même si vous avez décidé de jouer
l’imbécile, ça ne trompe personne...
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 10H11
Vous
le dites vous-même, vous n’êtes autorisé qu’en cas d’information et
d’usage personnel. Ici, rien de tout ça. Donc vous n’êtes pas autorisé.
Il vous faut donc retirer immédiatement vos contrefaçons de votre blog,
car vous connaissez désormais le prix de leur usage illicite, que nous
vous demandons, selon une base communément admise par la jurisprudence.
> Paris au XXIè siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 10H26
Gasty,
Donc
vous contestez la qualité d’auteur à tous les écrivains et peintres qui
auraient fait leur description d’un lieu ? Votre cause est
indéfendable. Et je vous rappelle que nous pouvons demander aux
associations d’artistes qu’elles soient parties civiles. Ce qu’elles ne
manquent jamais de faire, pour donner voix au droit des auteurs. Ainsi,
vous leur devrez aussi une réparation à chacune.
Je
crois qu’il serait sage pour vous, que vous retiriez vos contrefaçons
sans plus attendre, avant que vous y soyez contraint par la force du
droit.
Il ne vous sert à rien de tenter de convaincre qui que ce soit que le droit ne vous concernerait pas...
> Paris au XXIè siècle par Max Pintcy(IP:xxx.x1.9.136) le 26 juillet 2007 à 10H42
DW,
je ne connais qu’un seul dingue capable de consacrer autant de temps et
d’énergie à t’emmerder par tous les moyens. Donc, tu sais qui est
Gasty. Idem pour certains de ses "admirateurs".
Fais ce
qu’il te demande, quitte le bistrot. Car c’est un bistrot de loosers
ici, avec le patron qui est un p’tit malin qui se fait du fric sur leur
dos. Et le plus con d’entre tous est justement celui qui veut ton
départ, un super-paumé de la vie réelle qui bosse ici 60h / semaine à
l’oeil, sans même aucune reconnaissance sociale réelle. Juste une
illusion dans son cerveau malade.
> Paris au XXIè siècle par Gasty(IP:xxx.x1.169.137) le 26 juillet 2007 à 10H46
Préviens Souchon ! ( un artiste )
Elle me dit que je pleure tout le temps,
Que je suis comme un tout petit enfant
Qu’aime plus ses jeux, sa vie, sa maman.
Elle dit que je pleure tout le temps,
Que je suis...
Carrément méchant, jamais content,
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Carrément méchant, jamais content.
Article nul et sans intérêt par Boileau419 (IP:xxx.x6.53.4) le 25 juillet 2007 à 10H52
Le premier de la tribu des sycophantes a parlé.
Inutile
de relever toutes les horreurs de style et de vocabulaire ; ce serait
lassant et répétitif, mais je note au passage que cet article-ci se
distingue par ses phrases hachées à l’envi.
Je pêche dans le magma verbal ci-dessus cette perle, typique du sabir prétentieux et pseudo-métaphysique de l’auteur:
"Telle une toile de l’araignée paradigmatique qui ratiocine au-dedans de nous."
Je me pâme, ma chère Cloooode !
Avec
votre logorrhée (deux "r" et un "h") vous découragez ceux qui, voulant
faire des commentaires sur l’art sur ce forum plutôt politique, se
disent que deux articles sur ce sujet, c’est sans doute trop.
Ca vous flatte donc tellement de voir jour après jour votre image dans la liste "auteurs d’aujourd’hui", Démian Ouest ?
Quel est l’intérêt de cet article ? Je me gratte le crâne...
Ecrivez-nous donc quelque chose sur l’art nazi. On vous entendra enfin dire quelque chose de négatif et de moins planant.
> Paris au XXIè siècle par Boileau419 (IP:xxx.x6.53.4) le 25 juillet 2007 à 11H10
Tiens, à propos, qui a entendu parler d’un petit livre de Salvador Dali appelé "Les Cocus du vieil art moderne" ?
Il y démolit Picasso:
"Picasso
qui a peur de tout, fabriquait du laid par peur de Bouguereau. Mais,
lui, à la différence des autres, en fabriquait exprès, cocufiant ainsi
ces critiques dithyrambiques qui prétendaient retrouver la beauté [...]
Depuis que le critique dithyrambique s’est mariée avec la peinture moderne, cette dernière n’a cessé de le tromper [...]
Pour
que les forces vitalement hétérogènes et antiacadémiques de l’art
moderne ne périssent pas dans le ridicule anecdotique du simple
dilettantisme expérimental et narcissique, il faut trois choses:
1°
Du talent et de préférence du génie (Depuis la Révolution française, se
développe une vicieuse tendance crétinisante qui consiste à considérer
les génies, à part leur oeuvre, sont en tout des êtres plus ou moins
semblables au reste du commun des mortels. Cette croyance est fausse.
Je l’affirme pour moi qui suis le génie moderne par excellence.)
2° Réapprendre à peindre aussi bien que Velasquez et de préférence comme Vermeer.
3° Posséder une cosmogonie monarchique et catholique aussi absolue que possible et à tendances impérialistes
Voilà ce que Dali disait à propos de l’art moderne à la Sorbonne en décembre 1955:
"Un
des derniers plus importants peintre moderne a été certainement Henri
Matisse, mais Henri Matisse représente exactement les dernières
conséquences de la révolution française, c’est-à-dire le triomphe de la
bourgeoisie et du goût bourgeois. Les conséquences de "l’Art moderne"
aujourd’hui, c’est qu’on est arrivé au maximum de rationalisation et au
maximum de scepticisme. Aujourd’hui, les jeunes peintres modernes ne
croient à peu près à rien...il est tout à fait normal que quand on ne
croit à rien, on finisse par ne peindre à peu près rien. Ceci est le
cas de toute la peinture moderne y compris la peinture abstraite,
esthéticienne, académique..."].
je relève la référence à la critique dithyrambique (avec un "h" après le "t", Démian), alliée servile de la peinture moderne.
"Un critique dythrambique". Quel parfait résumé de notre pseudo-auteur à la crinière d’ébène...
J’aime Dali. Si peu "politically correct". Qu’on me passe l’expression anglaise, intraduisible.
> Paris au XXIè siècle par haddock(IP:xxx.x51.233.33) le 25 juillet 2007 à 19H55
Boileau Nicolas , le vrai , pas le pseudo-voleur à la tête de chien écrit comme ceci:
À mon jardinier
Laborieux valet du plus commode maître
Qui pour te rendre heureux ici-bas pouvait naître,
Antoine, gouverneur de mon jardin d’Auteuil,
Qui diriges chez moi l’if et le chèvrefeuil,
Et sur mes espaliers, industrieux génie,
Sais si bien exercer l’art de La Quintinie ;
Ô ! que de mon esprit triste et mal ordonné,
Ainsi que de ce champ par toi si bien orné.
Ne puis-je faire ôter les ronces, les épines,
Et des défauts sans nombre arracher les racines !
Mais parle: raisonnons. Quand, du matin au soir,
Chez moi poussant la bêche, ou portant l’arrosoir,
Tu fais d’un sable aride une terre fertile,
Et rends tout mon jardin à tes lois si docile ;
Que dis-tu de m’y voir rêveur, capricieux,
Tantôt baissant le front, tantôt levant les yeux,
De paroles dans l’air par élans envolées,
Effrayer les oiseaux perchés dans mes allées ?
Ne soupçonnes-tu point qu’agité du démon,
Ainsi que ce cousin des quatre fils Aimon,
Dont tu lis quelquefois la merveilleuse histoire,
Je rumine en marchant quelque endroit du grimoire ?
Mais non: tu te souviens qu’au village on t’a dit
Que ton maître est nommé pour coucher par écrit
Les faits d’un roi plus grand en sagesse, en vaillance,
Que Charlemagne aidé des douze pairs de France.
Tu crois qu’il y travaille, et qu’au long de ce mur
Peut-être en ce moment il prend Mons et Namur.
Que penserais-tu donc, si l’on t’allait apprendre
Que ce grand chroniqueur des gestes d’Alexandre,
Aujourd’hui méditant un projet tout nouveau,
S’agite, se démène, et s’use le cerveau,
Pour te faire à toi-même en rimes insensées
Un bizarre portrait de ses folles pensées ?
Mon maître, dirais-tu, passe pour un docteur,
Et parle quelquefois mieux qu’un prédicateur.
Sous ces arbres pourtant, de si vaines sornettes
Il n’irait point troubler la paix de ces fauvettes,
S’il lui fallait toujours, comme moi, s’exercer,
Labourer, couper, tondre, aplanir, palisser,
Et, dans l’eau de ces puits sans relâche tirée,
De ce sable étancher la soif démesurée.
Antoine, de nous deux, tu crois donc, je le vois
Que le plus occupé dans ce jardin, c’est toi ?
O ! que tu changerais d’avis et de langage,
Si deux jours seulement, libre du jardinage,
Tout à coup devenu poète et bel esprit,
Tu t’allais engager à polir un écrit
Qui dît, sans s’avilir, les plus petites choses ;
Fît des plus secs chardons des oeillets et des roses ;
Et sût même au discours de la rusticité
Donner de l’élégance et de la dignité ;
Lin ouvrage, en un mot, qui, juste en tous ses termes,
Sût plaire à d’Aguesseau, sût satisfaire Termes,
Sût, dis-je, contenter, en paraissant au jour,
Ce qu’ont d’esprits plus fins et la ville et la cour !
Bientôt de ce travail revenu sec et pâle,
Et le teint plus jauni que de vingt ans de hâle,
Tu dirais, reprenant ta pelle et ton râteau:
J’aime mieux mettre encor cent arpents au niveau,
Que d’aller follement, égaré dans les nues,
Me lasser à chercher des visions cornues ;
Et, pour lier des mots si mal s’entr’accordants,
Prendre dans ce jardin la lune avec les dents.
Approche donc, et viens: qu’un paresseux t’apprenne,
Antoine, ce que c’est que fatigue et que peine.
L’homme ici-bas, toujours inquiet et gêné,
Est, dans le repos même, au travail condamné.
La fatigue l’y suit. C’est en vain qu’aux poètes
Les neuf trompeuses soeurs dans leurs douces retraites
Promettent du repos sous leurs ombrages frais:
Dans ces tranquilles bois pour eux plantés exprès,
La cadence aussitôt, la rime, la césure,
La riche expression, la nombreuse mesure,
Sorcières dont l’amour sait d’abord les charmer,
De fatigues sans fin viennent les consumer.
Sans cesse poursuivant ces fugitives fées,
On voit sous les lauriers haleter les Orphées.
Leur esprit toutefois se plaît dans son tourment,
Et se fait de sa peine un noble amusement.
Mais je ne trouve point de fatigue si rude
Que l’ennuyeux loisir d’un mortel sans étude,
Qui, jamais ne sortant de sa stupidité,
Soutient, dans les langueurs de son oisiveté,
D’une lâche indolence esclave volontaire,
Le pénible fardeau de n’avoir rien à faire.
Vainement offusqué de ses pensers épais,
Loin du trouble et du bruit il croit trouver la paix:
Dans le calme odieux de sa sombre paresse,
Tous les honteux plaisirs, enfants de la mollesse,
Usurpant sur son âme un absolu pouvoir,
De monstrueux désirs le viennent émouvoir,
Irritent de ses sens la fureur endormie,
Et le font le jouet de leur triste infamie.
Puis sur leurs pas soudain arrivent les remords,
Et bientôt avec eux tous les fléaux du corps,
La pierre, la colique et les gouttes cruelles ;
Guénaud, Rainssant, Brayer, presque aussi tristes qu’elles,
Chez l’indigne mortel courent tous s’assembler,
De travaux douloureux le viennent accabler ;
Sur le duvet d’un lit, théâtre de ses gênes,
Lui font scier des rocs, lui font fendre des chênes,
Et le mettent au point d’envier ton emploi.
Reconnais donc, Antoine, et conclus avec moi,
Que la pauvreté mâle, active et vigilante,
Est, parmi les travaux, moins lasse et plus contente
Que la richesse oisive au sein des voluptés.
Je te vais sur cela prouver deux vérités:
L’une, que le travail, aux hommes nécessaire,
Fait leur félicité plutôt que leur misère ;
Et l’autre, qu’il n’est point de coupable en repos.
C’est ce qu’il faut ici montrer en peu de mots.
Suis-moi donc. Mais je vois, sur ce début de prône,
Que ta bouche déjà s’ouvre large d’une aune,
Et que, les yeux fermés, tu baisses le menton.
Ma foi, le plus sûr est de finir ce sermon.
Aussi bien j’aperçois ces melons qui t’attendent,
Et ces fleurs qui là-bas entre elles se demandent,
S’il est fête au village, et pour quel saint nouveau,
On les laisse aujourd’hui si longtemps manquer d’eau.
> Paris au XXIè siècle par claude(IP:xxx.x18.200.14) le 26 juillet 2007 à 00H20
notre boileau vieilli, !
ses
r’flexes s’émoussent... autrefois si vif à dégainer sa hargne dès la
parution de l’article de damian, voilà qu’il se fait doubler, et qui
plus est, par un post positif !
damned ! la sénilité
le guette ! l’alzheimer précoce avance à pas de géant ! il devient
confus, existé, emphasique... il essaye péniblement, à grand coups de
citations, mise les unes à côté des autres, de construire un post
rationel.
quelques bases de réflexion:
L’art n’est pas chaste, on devrait l’interdire aux ignorants innocents,
ne jamais mettre en contact avec lui ceux qui y sont insuffisamment
préparés. Oui, l’art est dangereux. Ou s’il est chaste, ce n’est pas de
l’art. [Pablo Picasso] « L’unique chose dont le monde n’aura jamais assez est l’exagération. »
[ Salvador Dali ] - Journal d’un génie
« Ce qui est important, ce n’est pas de finir une oeuvre, mais
d’entrevoir qu’elle permette un jour de commencer quelque chose. » [
Joan Miro ]
[ Nicolas Boileau ]:
Un beau désordre est un effet de l’art.
« L’ignorance toujours est prête à s’admirer. »
- L’Art poétique
Un livre vous déplaît: qui vous force à le lire ? Laissez mourir un fat
dans son obscurité: un auteur ne peut-il pourrir en sûreté ?Extrait des
Satires
et pour finir:
Alea jacta est: ils sont bavards, à la gare de l’Est. Alea jacta ouest: à Montparnasse aussi.
[Pierre Desproges]
> Paris au XXIè siècle par claude(IP:xxx.x18.200.14) le 26 juillet 2007 à 00H33
boileau écrit:
"Un
critique dithyrambiques": comment un critique peut connaitre un tyran
de l’ordre des caprins ? qui plus est, femelle ? ça se dit "un tyran
bique" ? il n’y aurait pas une faute d’accord ?
"Avec votre logorrhée (deux "r" et un "h") " ; et pourquoi un ré ? pas un logo do ? ni un sol ? c’est du sectarisme vulgaire !
à moins que cela soit un lot cochon...
je
sais, c’est mauvais, mais pas pu résister à me lancer dans des
comparaisons tractées par les extensions de kératine scalpiennes
> Paris au XXIe siècle par Bernard Dugué (IP:xxx.x25.101.121) le 25 juillet 2007 à 11H24
Intéressante
évocation du symbolisme qui représenta la revanche de Platon sur
Aristote, un platonisme christianisé avec des Idées incarnées dans l’Art
autre
évocation, la revue l’Illustration, qui à la Belle Epoque, séduisait un
grand public, alors qu’elle était mieux écrite que de nos jours, Libé
ou Le Monde
> Paris au XXIè siècle par Marcel Chapoutier (IP:xxx.x7.71.55) le 25 juillet 2007 à 11H30
DW
maitre incontesté du "marronnier" ou l’art de ne rien dire avec emphase
en se regardant dans le miroir "Au loinnn, on voit l’axe de la Porte
Saint-Martin par laquelle Louis XIV entra dans Paris, après ses
victoires de guerres. C’est droit vers la Seine. Mais, nous prenons
l’avenue de la République qui descend jusqu’au boulevard Ménilmontant
et vers le Père Lachaise des tombales mémoratives..."c’est de la
littérature à 2 balles du niveau 6ème...
> Paris au XXIe siècle par Adama (IP:xxx.x0.134.1) le 25 juillet 2007 à 12H47
Jolie
ballade dans la mégapole. Le repos au père lachaise est bien mérité et
votre remarque est pertinente ; de la supériorité des vivants sur les
morts,tout au moins on se berce de cette douce illusion.
> Paris au XXIe siècle par Sylvain Reboul (IP:xxx.x3.101.58) le 25 juillet 2007 à 16H00
Savoureuse
et amoureuse promenade dans un Paris festif et érotisé. Si le pouvoir
reste comme un élément décoratif ou un rappel historique, le travail et
le stress se sont évaporés...
> Paris au XXIe siècle par demian west(IP:xxx.x12.186.157) le 25 juillet 2007 à 20H17
Salut l’Enfoiré,
Je
vais souvent au Père Lachaise dans les catacombes du crematorium. C’est
extrêmement touchant de voir toutes ces photos vieillies de personnes
qui ont vécu les années du début du XXè siècle, et avant. Il y règne
une forte présence comme une mémoire solide et respirable.
> Paris au XXIe siècle par claude(IP:xxx.x18.200.14) le 26 juillet 2007 à 00H44
merci
damian pour cette promenade décalée dans un quartier si connu... la
prochaine fois que je prendrai le train et que j’arriverai gare de
l’est, je penserai à vous...
vous avez oublié de
mentionner tous ces oiseaux peu farouches, qui peuplent les quais:
pinsons, piafs, pigeins, qui viennent sans vergogne vous dévisager...
perchés sur la poignée de votre valise, pendant que vous sirotez votre
petite bière... à certains moments, on a presuqe l’impression qu’il
vont engager la conversation. leur petite tête penchée sur le côté.
l’oeuil amusé, il vous observe, pauvre terrien, pateau et lent, avant
de s’envoler dans un frémissement d’air qui ressemble à un éclat de
rire, emportant avec lui votre désir de liberté.
> Paris au XXIe siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 09H03
@ Claude,
C’est
pas faux. On finit par oublier tous ces animaux qui ajoutent au concert
parisien. Ils sont presque humains tant ils ne craignent plus l’homme.
Quand, dans le même temps, nous devenons presque animaux tant nous les
craignons genre panique des grippes aviaires. Paris Terminus... tout le
monde est descendu !
> Paris au XXIe siècle par carto (IP:xxx.x20.69.121) le 26 juillet 2007 à 02H03
C’est
le deuxieme article que je lis de l’artiste peintre parisien createur
d’illusions et je pense qu’il devrait faire une petite pause pour
prendre le temps d’ecrire des articles plus courts et plus
interessants. Quand on a pas grand choses a dire sur des sujets que
l’on ne maitrise pas, il est en effet tentant d’en faire trop... Tout
ce que j’espere c’est que notre Rastignac du ground zero de la culture
ait un minimum d’humour et qu’il plaisantait en menacant le rapide mais
brillant Gasti de plagiat.
> Paris au XXIe siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 08H16
Sachez,
qu’un matière de droit des auteurs, nous ne cèdons à aucune pression
directe ou indirecte, elles nous stimulent au contraire. Car laisser la
contrefaçon agir, c’est ni plus ni moins qu’un suicide moral pour
l’artiste.
> Paris au XXIe siècle par demian west(IP:xxx.x12.249.226) le 26 juillet 2007 à 09H29
Vous
noterez à nouveau, que tous les commentateurs dont l’auteur qui
débattent du sujet, et sur un mode pacifique et bienveillant, sont
pourvus de votes négatifs. Leurs commentaires sont donc jugés
non-constructifs. Ce qui est un non-sens.
Et tous les
commentateurs, qui dénigrent et plagient le sujet, sont pourvus de
votes positifs. Leurs commentaires étant jugés constructifs.
On
constate que le système des votes est non seulement perverti, mais
carrément retourné à l’inverse. C’est donc anti-citoyen par le fait.
Un
peu comme dans "1984" de Orwell, quand Big Brother lance son slogan
politique "la liberté c’est l’esclavage, l’amour c’est la haine."
Et pour ce que ça nous touche, c’est surtout inutile.
> Paris au XXIe siècle par haddock (IP:xxx.x51.233.33) le 26 juillet 2007 à 10H34
Je
ne placerai pas cette polémique au niveau du droit c’ est pas mon
esprit , plutôt j’ en appelerai au corps médical , être
systématiquement critiqué et là ce n’ est pas le cas de Gasty qui a un
réel talent , par des gens dont on ne voit jamais de photos critiquant
celles de Demian , entre autre Avatar qui quand on lui demande de
montrer son art se dérobe en faux-fuyants , et par des neus-neus qui n’
écrivent jamais rien là c’ est Seb qui fait uniquement de la retape
négative , ensuite le Boileau qui vient systématiquement souiller les
articles de West et une série de neus-neus du même genre , je trouve
que beaucoup de ceux là , non pas venir déposer leurs excréments sur
des articles dont ils ne comprennent le sens , devraient voir leur
psychiatre préféré .
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